Ils sont choisis parmi les enfants esclaves, ou achetés, ils égayaient les maisons par leur babil.
On les préférait généralement beaux, les cheveux bouclés, insolents et la langue bien pendue.
Les petits Alexandrins étaient réputés pour leur charme et leurs talents et donc vendus très cher.
Le maître pouvait s’il en avait envie, les affranchir et même les adopter légalement.
Le maître pouvait être un véritable père pour l’enfant en lui donnant de la tendresse et une bonne éducation.
Mais cette tendresse n’était pas l’attitude la plus répandue, certains maîtres considéraient simplement ces enfants comme des objets de luxe qu’il était bon d’avoir dans la maison.
Certains même avaient des relations ambiguës avec A l’époque les abus sexuels étaient sévèrement punis si l’enfant était de naissance libre, par contre les petits esclaves étaient à la merci de leur maître.
Source – Les collections de l’histoire